Retrouvez-nous dans le dossier consacré à « La révolution digitale des services financiers de l’entreprise » du magazine GPO paru en juin.
Vous avez un projet de dématérialisation de factures à destination de vos clients.
Ventya a édité un livre blanc décrivant les avantages d’un tel projet.
Venez découvrir ce document. Pour cela nous vous invitons à compléter un bref formulaire.
Alors que les impayés pour litiges restent monnaie courante en France, la dématérialisation des factures apparaît de plus en plus comme un moyen efficace de mieux les identifier et les traiter, tout en améliorant la relation client.
Réclamation client, défaut de qualité, facture erronée, non conforme au bon de commande, non reçue, envoyée au mauvais destinataire... les raisons d’un litige sur une facture, qu’il soit de bonne ou de mauvaise foi, sont diverses et variées mais conduisent toutes à un rallongement des délais de paiement. Selon le 7ème baromètre des Délais de Paiement Cabinet Arc/Ifop (octobre 2017), 74 % des litiges infondés visent à se soustraire à la Loi de modernisation de l’économie (LME). « Un taux qui reste stable depuis des années, déplore Denis Lebossé, président du Cabinet Arc. D’ailleurs nous constatons à ce sujet que plus les entreprises sont sous pression en termes de délais de paiement, plus il y a de sanctions et de contrôles sur ce sujet, et plus elles invoquent les litiges pour contourner les obligations légales ». La démarche est d’autant plus dommageable que près d’un quart des défaillances d’entreprises seraient dues à des retards de paiement. « Certes les choses se …
Nouveau format de facture « intelligente », la Factur-X pourrait devenir un standard dans les mois à venir et accélérer le passage des entreprises à la dématérialisation des factures. Explications.
Certes, les entreprises tendent à dématérialiser de plus en plus leurs factures, afin notamment d’en faciliter la transmission, d’accélérer les délais de paiement mais également de respecter les contraintes réglementaires sur ce sujet. Pour autant, les solutions actuellement disponibles impliquant l’utilisation de formats « structurés » (à savoir traitables et lisibles par un ordinateur), et en particulier l’EDI, restent essentiellement utilisées par les grandes entreprises et les ETI en capacité de déployer, d’intégrer et de conserver ces formats de factures.
Les TPE et PME utilisent pour leur part davantage des solutions alternatives moins lourdes à déployer (portails fournisseurs, systèmes Web-EDI, factures PDF signées) et qui reposent sur des factures images (papier ou PDF). Pour que ces dernières soient intégrées dans le système d’information de l’entreprise, elles doivent néanmoins être accompagnées d’un document structuré. Jusqu’à peu, il manquait donc une solution « technique » permettant à toute entreprise d’accéder à une solution de dématérialisation qui, au-delà du format de création et de transmission de la facture, permette l’intégration des données « …
Alors que les retards de paiement des TPE et PME repartent à la hausse cette année, les entreprises se doivent, pour limiter autant que possible les délais de règlements de leurs fournisseurs, d’explorer tous les moyens propres à améliorer leur cycle de facturation. Il se trouve qu’en la matière, la dématérialisation des factures a déjà fait la preuve de son efficacité…
Marquée par une décennie difficile, la conjoncture économique apparaît cette année plus favorable aux entreprises. Gage de cette embellie, les retards de paiement des grandes entreprises sont enfin passés cette année sous la barre des 10 jours (Baromètre des délais de paiement Ifop/Cabinet Arc). Une tendance qui n’est cependant pas observée dans les TPE et PME. En dépit de carnets de commandes qui se remplissent, leurs délais de paiements sont en effet passés de 11.8 jours en 2016 à 14.5 jours en 2017, générant un risque non négligeable pour les trésoreries de leurs fournisseurs.
Pour limiter les effets néfastes des retards de paiement sur l’activité des entreprises, le gouvernement légifère sur le sujet depuis plusieurs années. En 2008, la LME plante le décor et limite les délais de paiement à 60 jours nets …